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Bylina

En ce deuxième jour de Gamescom, j’ai eu un peu peur quand mon rendez-vous a commencé avec vingt minutes de retard et que le stand sentait déjà la bière à midi. Mais même dans ces conditions, je suis très content d’être resté, parce que j’aurais loupé une belle petite surprise si j’avais eu l’audace de partir.

The King is Watching

La mauvaise image de la monarchie n’est vraiment pas toujours méritée. Je reconnais que les Grimaldi et les Windsor n’ont pas aidé à donner bonne presse au concept de royauté, à force d’excès et de caprices. The King is Watching prouve que, parfois, les têtes couronnées peuvent bien faire.

Duel pour Cardia

C’est pas compliqué de faire un bon jeu quand on y pense, finalement. La rencontre d’un bon mécanisme, simple, efficace et d’une philosophie de jeu suffit. C’est ce que comprend parfaitement ce petit Duel pour Cardia, malgré un titre qui fait plus penser à un jeu de baston entre cardiologues énervés qu’entre mages dans un royaume magique.

Reanimal

Après avoir fait une présentation plutôt enthousiasmante de Reanimal lors de la Gamescom 2024, les Suédois de Tarsier Studios (les responsables de votre trouble du stress post-traumatique depuis la série des Little Nightmares) étaient de retour cette année – cette fois avec une démo jouable, pour laquelle on m’a mise en binôme avec un journaliste anglophone à qui j’allais apprendre le concept même de patience.

Deer & Boy

Il y a des traditions qui suivent la rédaction de Canard PC à chaque Gamescom : tous les ans, ou presque, il y a une petite galère d’hôtel (il faut savoir que pendant quatre jours, Cologne devient la capitale de l’industrie et il faut au moins se séparer d’un rein fonctionnel pour espérer trouver un logement convenable) ; le premier soir du salon, on partage une pinte de Kölsch avec des confrères sur les rives du Rhin ; et puis il y a toujours ce moment où l’on se fait la promesse de ne plus jamais boire de pinte de Kölsch avant une journée de rendez-vous, parce que ça n’a honnêtement jamais été une très bonne idée.

Mafia : The Old Country

Vous vous souvenez de Mafia en 2002 ? Moi oui. J’avais encore un écran cathodique, une connexion 56k, et une foi candide en la capacité du jeu vidéo à raconter autre chose que « Incarnez un héros ». Dès l’intro, Mafia : The Old Country a réussi à me ramener à cette époque bénie (par la Madone, bien entendu).

Retour à la casse départ

Après avoir sorti Homeworld 3 l’année dernière, honorable résurrection d’une glorieuse franchise, Blackbird Interactive revient à son premier amour. Comme le rapporte PC Gamer, le studio canadien annonce en effet avoir racheté l’intégralité des droits de son précédent titre, Hardspace : Shipbreakers, à l’éditeur Focus Interactive. Ce jeu très original de casse spatiale, dans lequel on incarne un ouvrier découpant d’énormes vaisseaux à la scie-laser, a eu son petit succès critique et commercial en 2022. Son créateur entend désormais en faire une vraie franchise ; plusieurs projets se déroulant dans le même univers sont en chantier. Ils promettent de nouveaux titres avec « un gameplay basé sur la physique » et « des mécanismes de jeu innovants », ce qui devrait exciter bien plus de gens qu’un énième STR spatial. A.

Télex

C’était écrit : Microsoft confirme que la prochaine Xbox sera blindée d’IA. Elle sera notamment équipée d’un nouveau processeur AMD incorporant un NPU permettant de faire du Neural Rendering (comme le DLSS et le FSR que nous avons déjà sur PC depuis cinq ans). A.