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My Little Puppy

Alors qu’il gambade entre les nuages duveteux et les arcs-en-ciel du paradis des chiens, Bong-gu lève soudain la truffe : il sent – enfin ! – l’odeur de son maître qui arrive. Un brin pressé, le petit corgi fausse compagnie aux anges et court à sa recherche à travers toutes les strates de la vie après la mort.

Unbeatable

Ça fait sept bonnes années qu’on attendait la sortie d’Unbeatable. Le jeu de rythme vivait dans ma tête sans payer de loyer avec son style rappelant FLCL, ses animations qui font baver et sa bande-son punk. Je n’étais d’ailleurs pas le seul à être impatient, puisqu’en 2021, le projet était parvenu à rassembler plus de 267 000 dollars sur Kickstarter.

Horses

Dans Horses, on incarne un jeune homme qui va passer deux semaines au vert pour aider un éleveur dans sa petite exploitation agricole. Dans les enclos étriqués, ce ne sont pas des animaux que l’on trouve, mais bien des personnes nues, portant des masques de chevaux.

Rhythm Doctor

Je distingue deux écoles de jeux de rythme. La maximaliste, façon Muse Dash ou Guitar Hero, arbore des partitions extrêmement chargées. À moins de connaître une piste par cœur, il est impossible de détourner le regard. L’horizon du pratiquant est de faire un « full combo », de ne jamais se tromper et d’activer ses multiplicateurs de points au bon moment pour obtenir le meilleur score. L’autre école, c’est la théorique. On y trouve les Rhythm Paradise ou Melatonin. On peut, sur le papier, y jouer les yeux fermés, même s’ils peuvent être très difficiles. C’est mon école préférée et Rhythm Doctor en est un nouveau représentant.

Marvel Cosmic Invasion

Si Marvel Cosmic Invasion était sorti sur borne d’arcade dans les années 1990, j’y aurais englouti des fortunes en pièces de 10 francs. Mais l’âge d’or du beat them all, c’est aujourd’hui, grâce à Dotemu, qui en arrive presque à se concurrencer lui-même. Déjà responsables du très réussi TMNT : Shredder’s Revenge, les développeurs ont hérité d’une licence plus prestigieuse et d’un budget plus conséquent. Résultat : un pixel art somptueux, des animations fluides et une avalanche d’effets colorés.

Routine

Je suis le président de la fédération internationale des flippés du bulbe. Proposez-moi une expérience qui provoque plus de sensations fortes qu’un épisode de Derrick et je m’évanouis. Pour une fois qu’un jeu d’horreur n’est pas immédiatement capté par Ellen Replay, la logique aurait voulu que je m’en tienne aussi éloigné que possible. Le souci est que je suis aussi curieux et fan de space porn que trouillard.

Skate Story

J’ai le cœur qui bat à mille à l’heure alors que j’arpente une ville fantôme remplie de mirages, à la recherche d’une énième lune à manger. J’ai enchaîné les tricks sur un skate pour combattre un œil sanglant, redonné l’inspiration à un pigeon en plein syndrome de la page blanche, discuté avec un buste de philosophe coiffé d’une casquette vert fluo, avant de me fracasser en morceaux en loupant une rampe. En un mot comme en cent : j’ai joué à Skate Story.