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Molly House

Si on m’avait dit que j’allais lancer des dés, d’un rose nacré douteux, en plus, pour déplacer mon pion du nombre de cases indiquées et faire l’action d’où on tombe… Je n’ai pas moins de préjugés qu’un autre : j’aurais crié au jeu de l’oie et snobé la boîte. Et dans ce scénario, l’oie, c’est moi. Heureusement, ce n’est pas sous cet angle que Molly House s’est présenté, et depuis j’ai envie de le montrer à tout le monde.

Little Nightmares III

Il y a beaucoup de créatures grotesques, tout droit sorties d’un tableau d’Otto Dix, dans Little Nightmares III : une poupée géante qui s’empare de tout ce qui se trouve sur son passage avec ses gigantesques mains potelées, une femme-araignée au chignon serré qui vous dévore si vous avez le malheur de sortir le nez de votre cachette, ou encore un ventriloque en costume qui ne se sépare jamais de son pantin. Mais les créatures les plus grotesques, ce sont sans doute mon partenaire de jeu et moi, à en juger par le nombre de fois où nous sommes tombés dans le vide en voulant nous agripper à une plateforme.

Révolte !

Je n’ai pas encore vu le chemin de fer du magazine*, mais j’espère que Perco a pensé à placer Révolte ! pas loin de Queen Marie-Antoinette. Ce serait cohérent, en tout cas, comme il est cohérent que ces thématiques de nobles à perruques bouclées soient mises en plis.

L’île des Mookies

Comme tout parent responsable, je ne laisse pas ma progéniture s’approcher d’objets dangereux, comme un exemplaire de Valeurs néonactuelles ou un épisode des Anges à Ramatuelle. À la place, je lui procure des jeux et je la colle (avec moi) devant des écrans. Pour continuer de suivre les directives ministérielles, je viens de lui faire découvrir le crack. Elle kiffe.

Battlefield 6

Dans toute guerre, il y a un enjeu, une tension palpable à tout moment. La sortie de Battlefield 6 est une guerre, et ce qui est dans la balance n’est pas très rigolo : des milliers d’emplois chez Electronic Arts, ni plus ni moins. Face à cette menace, les développeurs ont fait ce qui convenait, se replier sur leurs positions et prendre le moins de risques possible.

Bye Sweet Carole

Lorsque Charles Burns a imaginé sa bande dessinée X’ed Out, dans laquelle un personnage aux airs de Tintin s’aventure dans une ville peuplée de créatures mutantes, ce dernier a choisi de s’inspirer d’éléments qu’il avait intériorisés durant sa petite enfance. Par exemple, dans Le Secret de la licorne, il y a une scène où Tintin se fait enlever et se réveille dans une cave du château de Moulinsart, où se trouve un interphone fixé au mur. Charles Burns, alors trop jeune pour savoir lire, ne connaît pas encore le concept d’interphone, et voit juste un phylactère flotter au beau milieu de nulle part : « J’avais l’impression de voir une bouche désincarnée collée au mur, et c’était vraiment terrifiant », a-t-il confié à ce sujet.