Une ode à l’âge d’or du moteur Source
Le temps de lire ces pages, laissez tomber ces histoires de ray tracing, de compilation des shaders et de pass saisonniers. Remémorons-nous un temps où tout était plus simple, où les FPS pesaient 5 Go et où l’on pouvait se faire bannir d’un serveur pour avoir posé un graffiti de zizi sur un mur. L’époque bénie du Source Engine.

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